JEAN-BAPTISTE JACQUES AUGUSTIN (SAINT-DIÉ, 15 AOÛT 1759 - PARIS, 13 AVRIL 1832)

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JEAN-BAPTISTE JACQUES AUGUSTIN (SAINT-DIÉ, 15 AOÛT 1759 - PARIS, 13 AVRIL 1832)
Portrait de jeune femme en robe de soie blanche, les épaules couvertes d'un châle rouge. En buste, presque de face, elle est coiffée de boucles relevées et retenues par un peigne de perles Aquarelle et gouache ovale sur ivoire, signée et datée à droite: Augustin. 1805 Dans un cadre "à réverbère" en or ciselé et bordé de disques émaillés blancs, la Marie-Louise en vermeil à fond amati H. 6,3 cm - L. 5,2 cm Cadre: H. 9,3 cm - L. 8,3 cm Provenance: Demeurée dans la descendance de la famille depuis 1805. Bibliographie: Sera incorporée dans le catalogue raisonné de l'artiste en préparation par Monsieur Bernd PAPPE. On consultera, du même auteur, le catalogue de l'exposition: "Jean-Baptiste AUGUSTIN, Peintre en miniature", Saint-Dié-des-Vosges, 17 avril au 20 juin 2010. A rapprocher du "portrait de femme à la robe blanche et peigne de corail", Vente Heidelberg 2011. Historique: Reprenant une pose chère à l'artiste, Augustin a peint cette miniature en 1805. Comme pour accentuer la beauté du modèle, esquissant un léger sourire, il le place devant un fond en frottis brun-vert faisant ressortir la clarté des carnations et l'intensité du châle rouge avec pour unique bijou un peigne orné de perles. Ainsi, de cette mise en scène simplifiée à l'extrême émane une tranquillité où seule la beauté a sa place, cette beauté que Lassale, dans sa critique de 1808, p. 408, qualifiait de "portrait de perfection".
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