Johann Lorenz II RUGENDAS (1775-1826)

Lot 19
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500 - 1000 EUR
Johann Lorenz II RUGENDAS (1775-1826)
Bataille d'Elchingen auprès d'Ulm, le 14 d'octobre 1805 Sous le titre, un extrait du cinquième bulletin de la Grande Armée est cité: Le 13 du mois d'octobre, l'Empereur Napoléon se porta de sa personne au camp devant Ulm, et ordonna l'invertissement de l'armée ennemie. La première opération a été de s'emparer du pont et de la position d'Elchingen. Le 14 à la pointe du jour, le Maréchal Ney passa ce pont à la tête de la division Loison. L'ennemi lui disputait la possession d'Elchingen avec seize mille hommes: il fut culbuté partout, perdit trois mille hommes faits prisonniers, un Général-major, et fut poursuivi, jusque dans ses retranchements. Le Maréchal Lannes occupa les petites hauteurs, qui dominent la plaine au-dessus du village de Pfuhl. Les tirailleurs enlevèrent la tête du pont d'Ulm: le désordre fut extrême dans toute la place. Dans ce moment, le prince Murat faisait manoeuvrer les divisions Klein et Beaumont qui partout mettaient en déroute la cavalerie ennemie. Se vend à Augsbourg chez I.L. Rugendas. Aquatinte 48,5 x 57 cm France, vers 1807. PhM État de conservation: bon. Quelques rousseurs. Provenance: descendance de Michel Ney (1769-1815), maréchal de l'Empire (1804), duc d'Elchingen (1808) et prince de la Moskowa (1813). Par hérédité et descendance, les héritiers de Laetitia Germaine Marie Agnès Ney d'Elchingen (1940-2005), fille unique de Michel Georges Napoléon Ney d'Elchingen (1905-1969), 6e prince de la Moskowa (1933). NOTE - Cette estampe illustre le combat livré sur la rive gauche du Danube, au matin du 14 octobre 1805. L'escadron du 18e régiment de dragons, en habit à distinctive rose, culbute les Autrichiens, suivi par l'infanterie conduite par le maréchal Ney; des cavaliers et fantassins montent à l'assaut de la colline dominée par l'ancienne abbaye bénédictine qui fut enlevée à la baïonnette après de furieux corps à corps. Les troupes de l'archiduc Ferdinand furent mises en déroute, pourchassées, et durent capituler. La route de Vienne était o
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