Marie Claude Hubert Étienne Maréchal, lieutenant... - Lot 792 - Giquello

Lot 792
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Estimation :
3500 - 5500 EUR
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Marie Claude Hubert Étienne Maréchal, lieutenant... - Lot 792 - Giquello
Marie Claude Hubert Étienne Maréchal, lieutenant au 8e Régiment de Hussards, Consulat - Premier Empire. Pastel original peint par Boose. Buste du lieutenant Maréchal ici représenté de trois-quarts en petite tenue avec surtout vert foncé à collet et passepoils écarlates, gilet blanc, épaulette, contre épaulette et boutons argent. Il est décoré de l'étoile de chevalier de l'Ordre de la Légion d'Honneur et tient dans sa main gauche son sabre. Hauteur 53 cm, largeur 42 cm. Parfait état. Présenté sous verre dans un encadrement ancien en bois doré. Note - Albert Depréaux dans son article « Le 8e régiment de Hussards et ses officiers à l'époque du Consulat », publié dans les Carnets de La Sabretache en 1912 écrit : « Lorsque le colonel Marulaz passa général, il offrit à tous ses officiers une pelisse, en souvenir de ses bonnes relations avec eux. En échange, les officiers du régiment, revêtus de la pelisse, firent tous exécuter leur portrait et l'offrirent au général ». L'ensemble de ces portraits a été conservé au château de Filain, propriété des Marulaz, tout au long du XIXème siècle, avant d'être vendus à deux collectionneurs par un descendant du généralMarulaz. À l'origine, la collection complète de cette série de pastels comportait très probablement les portraits des trente-huit officiers du 8ème Régiment de Hussards (1 colonel, 1 major, 2 chefs d'escadron, 1 quartier-maître trésorier, 2 adjudants-majors, 8 capitaines, 8 lieutenants, 15 sous-lieutenants). En 1912, Monsieur Albert Depréaux avait localisé vingt-deux exemplaires : douze dans les collections du Musée de l'Armée (dont trois portraits de la famille Marulaz : le père et ses deux fils), un à Madame la générale Vanson, huit dans la collection Depréaux et un appartenant au commandant Martin. Ces pastels ont été peints en 1803 par Boose, pendant le séjour du régiment au camp de Boulogne, (cette information est avérée grâce à l'un des pastels de l'ancienne collection Depréaux signé Boose px et daté an XI). Dans n
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