HENRI BEYLE, DIT STENDHAL (1783-1842).

Lot 270
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HENRI BEYLE, DIT STENDHAL (1783-1842).
Quelques mots autographes sur une lettre et un billet à lui adressés. 16 mars 1835 et 10 février 1839. Respectivement 3 p. et 1 p. in-8. La lettre est signée De Rouville (21 janvier 1835 ; adresse « Monsieur Beyle, consul de France à Civita-Vecchia, états romains » et cachet de cire rouge ; déchirure avec perte de texte, bruniss.). Stendhal y a marqué « reçu le 16 mars, 21 janvier ». Stendhal a écrit « Lu dimanche 10 fév. 39 » sur le billet qui fait référence à L'Abbesse de Castro : « J'ai lu l'abbesse. Pour vous dire ce que j'en pense, je vais vous copier ce que m'écrit Clémentine "que la lettre du pauvre Jules à sa bien-aimée est divine, c'est de la passion à la Roméo, c'est pur, [...] c'est angélique, qu'une femme est heureuse d'être aimée ainsi !" ». Joint 2 lettres à lui adressées, l'ensemble 3 p. in-8 et in-4 : L.A.S. de VERON, directeur de la Revue de Paris (16 mars 1830) : « [...] Je vous adresse l'épreuve de votre article plein d'intérêt. Dans cet article, vous parlez d'une lettre de Lord Byron. Il serait bien curieux pour nous d'en publier le fac-similé. [...] ». - L.A.S. du libraire LEVAVASSEUR (Paris, 3 octobre 1832) : « J'ai bien du regret du silence littéraire ou plutôt fort peu littéraire que vous gardez. Tout y perd, les lettres, le public et les pauvres libraires qui ont besoin de bons livres. [...] J'oserais bien maintenant publier un ouvrage d'un auteur inconnu [...] il suffirait que ce monsieur eût une confiance entière en moi [...] que son ouvrage ne sera pas attribué à une autre personne. [...] Je regarderais donc comme une obligeance que vous m'envoyassiez un livre d'anecdotes ou de choses curieuses recueillies en Italie [...] ».
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